100 jours seulement après le lancement du prélèvement kilométrique pour les camions en Belgique, Satellic tire un premier bilan de cette période de lancement et sollicite l’avis de plusieurs parties prenantes.
Près de 600 000 des 800 000 OBU produits pour répondre à la demande potentielle du marché ont été distribués aux usagers en Belgique et à l’étranger. Actuellement, entre 130 000 et 140 000 véhicules équipés empruntent le réseau routier belge chaque jour.
Rudolf Pospischil, CEO Satellic : « Après un démarrage difficile, nous recevons beaucoup de commentaires positifs de la part des usagers et des fédérations du transport à propos de l’amélioration de notre service. Nous avons accompli notre mission et nous sommes parvenus à créer un système de péage de pointe en un temps record. »
Le système compte des partisans parmi les acteurs majeurs du secteur qui ont une large expérience dans ce type de projets. DKV, spécialiste européen des services aux transporteurs, a été l’observateur privilégié de plusieurs lancements de systèmes de péage en Europe. Selon Jürgen Steinmeyer, directeur des péages de l’entreprise allemande, « de notre point de vue, et compte tenu de l’expérience que nous avons de tels projets, nous pouvons dire que le lancement du système du prélèvement kilométrique en Belgique peut être considéré comme une réussite. » En disant cela, il rejoint l'avis de Jérôme Lejeune, CEO du fabricant français d’équipements routiers Axxès – concurrent direct de Satellic –, qui a déclaré le 8 avril dans Le Soir que « le défi technologique était de taille pour Satellic, car il fallait créer le système de toutes pièces » et « je me réjouis surtout que les trois Régions soient parvenues à maintenir leur volonté politique d’instaurer cette taxe écologique en dépit des nombreuses oppositions ».
Après avoir relevé le défi de mettre en place tout un système de A à Z en moins de deux ans, Satellic tient à continuer à proposer un service abordable de qualité à l’ensemble des usagers. Satellic est le seul opérateur à offrir la possibilité de ne payer que le péage – et rien d’autre – et de bénéficier d’une large gamme de services sans frais supplémentaires.
Construit pour être évolutif et pour répondre aux demandes à la fois des Régions et des usagers, le système fait l’objet d’un développement et d’une amélioration continus.
Le week-end dernier, une nouvelle version du logiciel a été déployée. Il est plus convivial pour tous :
Ce faisant, Satellic tient à répondre aux principales demandes exprimées par les usagers, propriétaires d’entreprises, conducteurs ou personnes dont les véhicules sont soumis au péage. La mission de Satellic est d’améliorer constamment le service à la clientèle.
[1] « Le défi technologique était de taille pour Satellic car il fallait créer le système de toutes pièces »
[2] « Je me réjouis surtout que les trois Régions soient parvenues à maintenir leur volonté politique d’instaurer cette taxe écologique en dépit des nombreuses oppositions. »